INFINITY OF WASTE

Artistes :
Nelson Chouissa - Eloi Jacquelin

 ︎Projection vidéo générée  en temps réel
 ︎Son et vidéo créé via algotythme


L’installation numérique Infinity of Waste questionne le devenir des décharges sauvages grâce à une projection vidéo infinie et générée en temps réel créant une zone criblée de déchets épars.

Celle-ci par sa narration sonore et poétique (également générée aléatoirement) raconte l’histoire suivante :
“Dans un futur lointain, un fonctionnaire anonyme fait office de gardien des déchets. Il va les regrouper, les trier ou les disperser dans une logique très personnelle. Son approche minutieuse et sensible, mettra en lumière l’aspect poétique de ces capsules temporelles non voulues.”

La pièce pose donc la question suivante : “comment seront perçus ces décharges sauvages dans mille ans  ?”



“Le déchet à donc à voir, bien qu’en un sens légèrement différent, avec ce que Georges Didi-Huberman, à la suite de Aby Warburg, a nommé la survivance : le déchet, présent et actuel, conserve en effet la trace d’une vie passé - mémoire du déchet comme symptôme d’un état antérieur - et ne cesse également de ressurgir et de se répéter dans de nouvelles formes de rebus. En ce sens, le déchet est toujours anachronique, puisqu’en lui se conçoive d’autres temps et d’autres objets dont il n’est finalement qu’un échos ou une résurgence.”
Agnès Lontrade, Esthétique des ruines, poïétique de la destruction



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